Religion et diplomatie américaine : entre mission divine et réalités géopolitiques
DOI :
https://doi.org/10.71420/ijref.v2i5.104Mots-clés :
Diplomatie religieuse, Post-sécularisme, Politique étrangère américaine, Soft power, Pluralisme confessionnelRésumé
Cet article explore l’émergence d’une diplomatie religieuse post-séculière dans la politique étrangère des États-Unis. À travers une lecture théorique croisée et l’analyse de plusieurs administrations américaines, il met en évidence le rôle croissant du religieux dans la formulation des normes diplomatiques, tout en soulignant les limites internes (sécularisme bureaucratique, pluralisme confessionnel) et les critiques externes (perception d’ingérence ou d’hégémonie morale). Il plaide pour une diplomatie religieuse pluraliste, capable de dépasser le cadre évangélique dominant et de s’ouvrir à une coopération multiconfessionnelle au service de la paix et de la justice globale.
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© Radia Benabdeljalil 2025

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